Il n’a de cesse d’en explorer les limites, de montrer à quel point les frontières entre le bien et le mal sont poreuses. Son passage à la Continental, maison de production allemande installée en France, où il tourne L’Assassin habite au 21 (1942) et Le Corbeau (1943), lui vaut de séjourner en prison à la Libération. Il reprend les chemins des studios avec Quai des Orfèvres (1947), autre chef d’œuvre. Par la suite se signalent Le Salaire de la peur (1952), Les Diaboliques (1954), ou La Vérité (1960) qui renforce son image de tourmenteur d’actrices. L’Enfer, film expérimental grandiose, reste inachevé. La Prisonnière (1968). déçoit et l’échec qu’il subit l’éloigne inexorablement du monde du cinéma.
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